Le Collectif Culture Bar – Bars soutient la démarche citoyenne et collective des élections des Maires de la nuit. Les objectifs de ce dispositif sont multiples mais le premier d’entre eux est de donner une voix et un visage aux publics de la Nuit.

Une initiative citoyenne pour donner une voix à la Nuit.
Le premier tour (organisé sur Facebook) s’achève le 31 octobre à Paris, le 1er novembre à Toulouse, le 5 à Nantes. Le second tour, le 9 novembre, aura lieu dans des bars, cafés, salles dédiées... A Nantes, le futur maire de nuit ne sera élu que pour quelques mois, jusqu’au second tour des élections municipales. A Paris et Toulouse, son mandat s’étalera sur une année entière.
Au cours des importantes discussions qui se sont déroulées depuis 2008 sur ces problématiques nocturnes, il est clairement apparu que le public était le chaînon manquant du débat qui reste cantonné entre les professionnels de la Nuit (organisés en réseaux ou en syndicats), les institutions et certains riverains hostiles à la vie nocturne et organisés en groupes de pression.
Le ou la Maire de la Nuit n’aura pas de réalité institutionnelle mais il ou elle tirera du dispositif électif une forme de légitimité morale incontestable qui le ou la placera d’emblée comme interlocuteur incontournable sur les problématiques nocturnes.
Le ou la Maire de la Nuit devra être à l’écoute de l’ensemble de ses « administrés noctambules », attentif(ve) aux questions qui se posent quotidiennement dans la Nuit, force de proposition sur des sujets tels que la prévention ou la médiation. Les élections auront lieu en deux tours, un premier tour sur les médias sociaux et un deuxième, le 9 novembre 2013, dans les lieux nantais de vie nocturne où seront installés des bureaux de vote.
A noter qu'EUROPE ECOLOGIE LES VERTS et Pascale Chiron Tête de liste à Nantes soutiennent tout particulièrement cette heureuse et utile initiative.
PG
Statistiques d'Ecolightnews.eu, hebdo nantais sur les écologies publiées à l'occasion de la rentrée 2013-2014
ECOLIGHTnews est un hebdomadaire publié en multi-édition. Chaque canal de diffusion se complète est forme l'édition complète.
ECOLIGHTnews.eu est constituée d'une curation d'articles sélectionnés par des contributeurs twittos et facebookers (de 100 à 200 selon l'actu),
La page officielle sur Facebook complète l'info au jour le jour est réuni une communité de lecteurs de plus 2000 membres.
Enfin certains posts, articles sont sélectionnés est sont twittés vers environ 800 followers qualifiés (Presse, Ecologistes)
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Les statistiques de Facebook met en évidence + de 600 lecteurs (plus de 1400 lectures) par semaine. L'objectif envisagé pour décembre sera d'aller jusqu'à 1700-1800/semaine soit 6000 lecteurs/ par mois ce qui fut le cas en janv. fév. mars 2013.
https://www.facebook.com/EcolighTnews
http://paper.li/f-1335393294
Pour nous joindre 32 Rue des Olivettes, Nantes 44000
Tel : 06 75 28 14 70
PHILIPPE GINET, Dir publication.
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Dans le cadre de sa campagne, Pascale Chiron, à la tête de la liste écologiste et citoyenne pour les municipales 2014,a déjà lancé de nombreuses actions: groupes de travail avec les militants, enquête auprès des habitants, rencontres de quartier, soirées d'échanges entre acteurs de la ville, forum de propositions citoyennes... Autant d’échanges qui ont contribué à enrichir la vision de la ville que la candidate s'emploie à porter jusqu'en Mars 2014.
LES JEUDIS DE L'ECOLOGIE
Le temps est venu maintenant de construire les propositions concrètes d’un programme écologiste et citoyen pour le prochain mandat municipal. Pascale Chiron a souhaité organiser pour cela des soirées de construction thématiques ouvertes à tous, qui ont démarré hier à sa permanence de campagne, 10 allée des Tanneurs (jusque mi-décembre, chaque jeudi de 18h30 à 20h):
Hier soir : Bouchons nantais, un nouveau franchissement de Loire est-il la seule réponse ?
31 octobre : Se loger à Nantes, entre entassement et étalement, on fait quoi ?
7 novembre : Urbanisme, tout pour l’île de Nantes ?
14 novembre : Quel prix pour la diversité des projets culturels ?
21 novembre : Comment réussir la réforme des rythmes scolaires ?
28 novembre : Travailler, entreprendre, produire et consommer … en bas de chez soi ?
5 décembre : Comment favoriser un environnement propice à la santé ?
12 décembre : Pour réussir la diversité, l’égalité, la cohésion de la cité, quelles sont les richesses de Nantes ?
Hier soir donc la rude question des transports à Nantes a été abordée.
Le tout nouveau local de campagne était plein.
Etait présent également, pour répondre et débattre François de Rugy, député de Nantes ORVAULT SAUTRON, co-président du groupe écologiste à l'Assemblée Nationale .
Parmi l'assistance, des chauffeurs de bus, des associations d'usagers, des nantais tout simplement, des convaincus du vélo...
Pascale Chiron initialisa le débat en précisant que la réflexion portait sur l'ensemble des transports (communs, vélo, voiture...) l'optimisation de leur complémentarité et la relation essentielle entre transports et urbanisme.
L'heure et demie fut très dense étant donnée la quantité de sujets et "problèmes" et "suggestions" développés :
compléter le système en étoile (Place du Commerce) par des liaisons inter-quartiers très attendues par les usagers.
Relier le busway saturé jusqu'à Place du Cirque;
...Question de la Ligne 5 qui dessert le "metacentre" mais n'a pas de vocation périphérique.
...Question des dessertes et de la dynamisation des quartiers
...Relier les correspondances de bus de façon plus cohérente entre quartiers (exemple : ligne7-Ligne 23)
...Identifier les hubs (grands points de connexion de lignes) pour réduire nombre de correspondances et temps d'attente. ce qui renforcerait l'attractivité des transports en commun.
Pascale Chiron, concernant la hausse de TVA prévue pour janvier 2014 désapprouve la répercution de celle-çi sur les usagers.
...Revision des tarifications de groupe, familiales.
...Gratuité des transports. François de Rugy a fait remarquer que cette gratuité entraînerait une baisse des recettes de 50 000 millions d'euros ce qui poserait l'épineuse question d'une récupération de cette somme par une hausse des impôts.
...Tarification transports de Nantes comparée à l'ensemble des villes de plus 100 000 H. Nantes dans le peloton des 5 plus chères. Par contre tarifs attractifs pour les 18-26 ans.
...Vélo. Un doublement récent des continuïtés cyclables. Le débat s'est orienté sur l'intéressante reflexion sur l'intermodalité -vélo-auto-transport en commun.
...Les vélos chargés sur les plateformes de tramways. L'assemblée en a fini par faire le constat d'une "utopie" Des chauffeurs de bus étaient là pour expliquer la problématique;
...Reflexion sur l'extension des vélos communautaires "BICLOO" bien au delà du Centre dans des quartiers périphériques où la demande est potientiellement forte.
...Aménagement des pistes cycles en zones périscolaire à développer.
Pour être honnête la liste des sujets abordés n'est pas exhaustive... Mieux encore : le temps de débat fut si intense que le sujet du nouveau franchissement de la Loire et des fameux bouchons nantais n'a pu être abordé mais le sera, probablement, à l'occasion d'un autre jeudi de l'Ecologie.
Rendez-vous donc
31 octobre : se loger à Nantes, entre entassement et étalement, on fait quoi?
Philippe Ginet . Article et photos
Le temps est venu maintenant de construire les propositions concrètes d’un programme écologiste et citoyen pour le prochain mandat municipal. Pascale Chiron a souhaité organiser pour cela des soirées de construction thématiques ouvertes à tous, qui ont démarré hier à sa permanence de campagne, 10 allée des Tanneurs (jusque mi-décembre, chaque jeudi de 18h30 à 20h):
Hier soir : Bouchons nantais, un nouveau franchissement de Loire est-il la seule réponse ?
31 octobre : Se loger à Nantes, entre entassement et étalement, on fait quoi ?
7 novembre : Urbanisme, tout pour l’île de Nantes ?
14 novembre : Quel prix pour la diversité des projets culturels ?
21 novembre : Comment réussir la réforme des rythmes scolaires ?
28 novembre : Travailler, entreprendre, produire et consommer … en bas de chez soi ?
5 décembre : Comment favoriser un environnement propice à la santé ?
12 décembre : Pour réussir la diversité, l’égalité, la cohésion de la cité, quelles sont les richesses de Nantes ?
Hier soir donc la rude question des transports à Nantes a été abordée.
Le tout nouveau local de campagne était plein.
Etait présent également, pour répondre et débattre François de Rugy, député de Nantes ORVAULT SAUTRON, co-président du groupe écologiste à l'Assemblée Nationale .
Parmi l'assistance, des chauffeurs de bus, des associations d'usagers, des nantais tout simplement, des convaincus du vélo...
Pascale Chiron initialisa le débat en précisant que la réflexion portait sur l'ensemble des transports (communs, vélo, voiture...) l'optimisation de leur complémentarité et la relation essentielle entre transports et urbanisme.
L'heure et demie fut très dense étant donnée la quantité de sujets et "problèmes" et "suggestions" développés :
compléter le système en étoile (Place du Commerce) par des liaisons inter-quartiers très attendues par les usagers.
Relier le busway saturé jusqu'à Place du Cirque;
...Question de la Ligne 5 qui dessert le "metacentre" mais n'a pas de vocation périphérique.
...Question des dessertes et de la dynamisation des quartiers
...Relier les correspondances de bus de façon plus cohérente entre quartiers (exemple : ligne7-Ligne 23)
...Identifier les hubs (grands points de connexion de lignes) pour réduire nombre de correspondances et temps d'attente. ce qui renforcerait l'attractivité des transports en commun.
Pascale Chiron, concernant la hausse de TVA prévue pour janvier 2014 désapprouve la répercution de celle-çi sur les usagers.
...Revision des tarifications de groupe, familiales.
...Gratuité des transports. François de Rugy a fait remarquer que cette gratuité entraînerait une baisse des recettes de 50 000 millions d'euros ce qui poserait l'épineuse question d'une récupération de cette somme par une hausse des impôts.
...Tarification transports de Nantes comparée à l'ensemble des villes de plus 100 000 H. Nantes dans le peloton des 5 plus chères. Par contre tarifs attractifs pour les 18-26 ans.
...Vélo. Un doublement récent des continuïtés cyclables. Le débat s'est orienté sur l'intéressante reflexion sur l'intermodalité -vélo-auto-transport en commun.
...Les vélos chargés sur les plateformes de tramways. L'assemblée en a fini par faire le constat d'une "utopie" Des chauffeurs de bus étaient là pour expliquer la problématique;
...Reflexion sur l'extension des vélos communautaires "BICLOO" bien au delà du Centre dans des quartiers périphériques où la demande est potientiellement forte.
...Aménagement des pistes cycles en zones périscolaire à développer.
Pour être honnête la liste des sujets abordés n'est pas exhaustive... Mieux encore : le temps de débat fut si intense que le sujet du nouveau franchissement de la Loire et des fameux bouchons nantais n'a pu être abordé mais le sera, probablement, à l'occasion d'un autre jeudi de l'Ecologie.
Rendez-vous donc
31 octobre : se loger à Nantes, entre entassement et étalement, on fait quoi?
Philippe Ginet . Article et photos
Crise de l'immigration en Europe
Les Dibrani, apatrides d'Europe
L'histoire de Leonarda Dibrani montre l'incapacité de l'union Européenne à assumer la libre circulation des personnes pauvres
Traduction ( extraits) d'un article d'EL PAIS. Je vous en ai traduit quelques extraits. Publié également sur MEDIAPART
CRISIS DE INMIGRACIÓN EN EUROPA »
Los Dibrani, apátridas de Europ La saga de Leonarda Dibrani muestra la incapacidad de la UE para asumir la libre circulación de las personas pobres
MIGUEL MORA Mitrovica 18 OCT 2013 - 18:48
L'arrestation de Dibrani Leonarda digne des années
30, une élève francophone et Rom âgée de 15 ans,
née et élevée en Italie, mais d'origine
kosovare,tandis qu'elle se trouvait en pleine
excursion scolaire, et sa déportation immédiate et
celle de sa famille ( ses parents et cinq de ses
sept frères, âgés entre 17 mois et 17 ans ), ont
créé une énorme tempête politique à Paris. 2,500 km
à l'est, au Kosovo, l'affaire ne soulève qu'un
intérêt marginal. La famille Dibrani s'est
installée à Mitrovica, la ville divisée en deux
depuis 1999, lorsque l'OTAN a bombardé le Kosovo ,
ancienne province serbe qui a proclamé son
indépendance en 2008.
Au nord de la ville, moche et sans âme , ce sont
les Serbes, qui représentent aujourd'hui 10% de la
communauté kosovar au sud , les Albanais et
quelques milliers - on ne sait combien - de Roms ,
Ashkali et Egyptiens (...) , les trois ethnies
gitanes historiques au Kosovo.
Mais personne ne semble montrer le moindre intérêt
pour cette famille dont le fondateur parti du
Kosovo il ya 38 ans , s'exprime aujourd'hui en
romani , en français et en italien , arrivé
récemment d'un coin reculé de la France se nommant
Pontarlier.
Le logement qui abrite les Dibrani, mis à
disposition par le ministère de l'Intérieur du
Kosovo, qui prétend exercer une discrimination
positive des Roms, est une maison de deux étages
branlante, mais digne, donnant derrière sur un
petit jardin que les nouveaux arrivants partagent
avec d'autres kosovars -non roms- expulsés de
l'Union européenne.
Depuis 2011, l'Allemagne et la France estiment que
la République du Kosovo n'est pas seulement un Etat
légitime mais un "Etat sûr" , et cette décision
politique a permis de renvoyer au pays des milliers
de membres - Roms ou non Roms- de la diaspora
kosovare, formée par environ deux millions de
personnes , un chiffre qui selon le recencement
officiel est équivalent à la population vivant dans
le pays.
Les Dibrani sont devenus célèbres en Europe et leur
maison ne désemplit pas de visites non-stop et
d'enfants de tous les âges possibles. Presque tous
ceux qui se présentent sont français (...) La
présence Kosovare est limitée à un policier et un
fonctionnaire envoyés par le ministre de
l'Intérieur pour gérer les papiers Dibrani et les
aider à réguler le trafic intense des photographes,
des caméras et des stylos qui cherchent un
entretien final avec Leonarda .
La jeune fille , charmante, drôle et fronçant les
sourcils comme son père , sourit sans cesse et
tergiverse comme une adolescente : «Je suis une
star », dit-elle, " mais je veux retourner à
l'école avec mes amis , mes professeurs et mon
fiancé " .
Son père, Resat Dibrani reçoit l'envoyé de EL PAIS
avec sa femme , Djemilah , à huit heures moins le
quart du matin, quand les Français et les vampires
dorment encore.C'est un homme grassouillet avec un
large visage, au regard direct, les yeux gris
directement. Elle est mate de peau et les cheveux
noirs, s'habille en noir,les sourcils très épilés
et semble sicilienne ou andalouse.
La première surprise est de voir que les Dibrani se
parlent les uns aux autres dans un italien parfait
et sont bien entourés.La seconde est de savoir que
Mme Djemilah n'est pas née dans les Balkans, mais à
Caltanissetta (Sicile) , et la troisième, qu'ils ne
sont pas mariés - «nous cohabitons», disent-ils -
et qu'ils formèrent un couple (...) dans dans un
campement romaní de Secondigliano, le quartier dit
de la camorra, par antonomase, de Naples.
La grande ironie de cette histoire, symptomatique
de l'absurdité qui depuis des décennies ou des
siècles perdure en Europe avec la communauté Rom
c'est que la plupart des membres de cette famille à
laquelle les médias portent leur attention ne sont
pas nés et n'ont jamais vécu au Kosovo.
.../...
L'exode de la famille a commencé en 1986, raconte
Resat . «Je suis né le 2 Septembre 1967 à
Mitrovica. Puis il ya eu des dizaines de milliers
de Roms à Mahala , une ville-campement qui était
tout près d'ici . Mais mon père était un ivrogne et
coureur de jupons, il est parti de chez lui et a eu
une enfance difficile . Je suis allée vivre avec ma
grand-mère...se souvient M. Dibrani , qui comme
adolescent était un marchand de chaussures et de
bijoux de fantaisie et avait le bagout d'un
marchand de tapis.
«Quand ma grand-mère est morte, j'avais neuf ans et
je suis allé avec ma tante. Làj'ai rencontré
Djemillah en 1989. Elle avait 13 ans et ne me
plaisait pas, elle était trop effrontée , elle
portait des décolletés plongeants ... Sa sœur était
plus jolie , mais elle était plus petite et timide
... Quand j'ai atteint l'âge de faire l'armée , je
fus un an chauffeur des officiers. A la fin , je
suis retourné à Mitrovica , mais comme mon frère
aîné était allé à Naples, et je l'avais pas vu
depuis 20 ans , j'ai décidé d'aller en Italie . "
"Je jure sur mon père mort », dit la mère, " nous
n'avons jamais demandé l'aumône, ni (...) rien
d'horrible. Nous sommes des gens normaux "
Les parents de Djemilah étaient des Roms d'origine
croate , et aussi allèrent en Italie pour
travailler en tant que commerçants de fer en 1969.
« Ils ont travaillé à Palerme , Messine, dans de
nombreux endroits . Je suis née en Sicile parce
qu'ils vivaient là depuis longtemps . Mais ensuite,
nous sommes partis pour Naples, nous sommes
retournés à la Croatie , nous sommes allés en
Espagne " , dit-elle.
" Nous étions jeunes et avons vécu de nombreuses
années comme nomades sans frontières ", poursuit le
mari, « où nous avions entendu que nous pouvions
vivre en paix , nous allions là-bas . J'ai vendu
des roses à Séville, des mouchoirs en Belgique, du
tabac à priser en Allemagne, jusqu'à ce que nous
nous installions à Fano , le conseil municipal nous
a beaucoup aidé et j'ai pu démarrer une entreprise
de collecte de vieux meubles et de nettoyage de
jardins " .
"Je jure sur mon père mort », dit Djemilah , «nous
n'avons jamais faitl'aumône, ni n'avons vendu une
fille, ou quoi que ce soit d'horrible. Nous sommes
des gens normaux, croyants, familiers. Resat lui
fut mis en prison une fois par erreur à Naples, et
quand il est sorti, il a reçu un chèque et c'est
tout. "
UNE SAGA EXEMPLAIRE
La saga de ces apatrides est exemplaire, en plus de
leur optimisme vital et de leur allergie aux
patries et aux documents - vestige peut-être d'un
ADN soupçonneux avec les recensements, qui étaient
le prélude des pogroms...
Leur histoire, faite de voyages, liberté, aventures
et fuites , produit à la fois l'envie et le vertige
, et est à la fois l'incarnation et le revers du
rêve européen : des gens qui parlent trois ou
quatre langues , et qui sautent de pays à pays
comme on change d'air .
Mais en même temps, c'est le signe de l'incapacité
de l'UE à assumer la libre circulation des pauvres,
et son mépris pour l'octroi de droits fondamentaux
et le respect de leur seule minorité ethnique, qui
a été d'ailleurs en partie exterminée pendant la
Shoah : 800.000 Roms sont morts dans les
Porraijmos ( la dévoration, en rom ) .
Peut-être l'histoire de Leonarda servira pour que
les politiciens et les citoyens qui considèrent les
roms coupables en temps de crise qui n'ont rien à
voir avec celà, comprennent que ces gens sont
devenus nomades par nécessité, et sont allés dans
des lieux où la haine se change en coup de main ,
où leurs enfants se sont scolarisés et ont compris
que seule une bonne éducation peut préserver leur
sens radical de la liberté légué par leurs
ancêtres.
INTEGRATION A LONG TERME EN ESPAGNE
Si les dix millions de Roms européens sont le
produit d'une diaspora très ancienne et de
l'histoire que les dictateurs leur ont écrit à coup
d' expulsions, des Rois Catholiques à Hitler et
Franco, au cours des 40 dernières années, leur
survie a dépendu des décisions des dirigeants
démocrates européens. Et leur niveau de vie s'est
nettement amélioré dans les endroits où les
politiques sont devenus intégration à long terme ,
comme l'Espagne . «Nous avons de la famille
partout. Mais nous voulions rester en Italie ,
presque tous y sont nés et nous avions une belle
maison avec jardin près de la mer », dit la mère.
«Tout allait bien jusqu'à ce que Silvio Berlusconi
a dit qu'il devait reconduire tous les Tsiganes du
pays », dit le père . C'était avant et après les
élections de 2008. Le gouvernement italien n'a pas
hésité à faire un recensement, les empreintes
digitales, a toléré les ratonnades motorisées et
des attaques incendiaires dans les camps, a déporté
massivement les Roms. La fuite des Dibrani d'Italie
en France a coïncidé , en Janvier 2009, avec le
point culminant de cette offensive. «Nous sommes
partis deux jours avant d'expulsés . L'avocat m'a
dit qu'ils allaient nous envoyer en Croatie , alors
nous avons pris le van et nous sommes partis par
San Remo jusqu'à Orléans " .
Philippe Ginet (Traduction et illustration) 22 octobre 2013
Les terminologies désignant Roms, Tziganes, gypsy étant variées d'un pays à un autre, par commodité j'ai choisi la désignation Rom
(WIKIPEDIA, extrait)
Rom (ou Rrom2) est un terme qui a été adopté par l'Union romani internationale (IRU) pour désigner un ensemble de populations, ayant en commun une origine indienne3, dont les langues initiales sont originaires du nord-ouest du sous-continent indien4 et constituant des minorités connues sous de nombreux exonymesvivant entre l'Inde et l'Atlantique ainsi que sur le continentaméricain. Rom est un endonyme signifiant « homme accompli et marié au sein de la communauté5 ».
Présentes en Europe dès le xie siècle6, ces populations y forment au xxie siècle la minorité « la plus importante en termes numériques »7.
Los Dibrani, apátridas de Europ La saga de Leonarda Dibrani muestra la incapacidad de la UE para asumir la libre circulación de las personas pobres
MIGUEL MORA Mitrovica 18 OCT 2013 - 18:48
L'arrestation de Dibrani Leonarda digne des années
30, une élève francophone et Rom âgée de 15 ans,
née et élevée en Italie, mais d'origine
kosovare,tandis qu'elle se trouvait en pleine
excursion scolaire, et sa déportation immédiate et
celle de sa famille ( ses parents et cinq de ses
sept frères, âgés entre 17 mois et 17 ans ), ont
créé une énorme tempête politique à Paris. 2,500 km
à l'est, au Kosovo, l'affaire ne soulève qu'un
intérêt marginal. La famille Dibrani s'est
installée à Mitrovica, la ville divisée en deux
depuis 1999, lorsque l'OTAN a bombardé le Kosovo ,
ancienne province serbe qui a proclamé son
indépendance en 2008.
Au nord de la ville, moche et sans âme , ce sont
les Serbes, qui représentent aujourd'hui 10% de la
communauté kosovar au sud , les Albanais et
quelques milliers - on ne sait combien - de Roms ,
Ashkali et Egyptiens (...) , les trois ethnies
gitanes historiques au Kosovo.
Mais personne ne semble montrer le moindre intérêt
pour cette famille dont le fondateur parti du
Kosovo il ya 38 ans , s'exprime aujourd'hui en
romani , en français et en italien , arrivé
récemment d'un coin reculé de la France se nommant
Pontarlier.
Le logement qui abrite les Dibrani, mis à
disposition par le ministère de l'Intérieur du
Kosovo, qui prétend exercer une discrimination
positive des Roms, est une maison de deux étages
branlante, mais digne, donnant derrière sur un
petit jardin que les nouveaux arrivants partagent
avec d'autres kosovars -non roms- expulsés de
l'Union européenne.
Depuis 2011, l'Allemagne et la France estiment que
la République du Kosovo n'est pas seulement un Etat
légitime mais un "Etat sûr" , et cette décision
politique a permis de renvoyer au pays des milliers
de membres - Roms ou non Roms- de la diaspora
kosovare, formée par environ deux millions de
personnes , un chiffre qui selon le recencement
officiel est équivalent à la population vivant dans
le pays.
Les Dibrani sont devenus célèbres en Europe et leur
maison ne désemplit pas de visites non-stop et
d'enfants de tous les âges possibles. Presque tous
ceux qui se présentent sont français (...) La
présence Kosovare est limitée à un policier et un
fonctionnaire envoyés par le ministre de
l'Intérieur pour gérer les papiers Dibrani et les
aider à réguler le trafic intense des photographes,
des caméras et des stylos qui cherchent un
entretien final avec Leonarda .
La jeune fille , charmante, drôle et fronçant les
sourcils comme son père , sourit sans cesse et
tergiverse comme une adolescente : «Je suis une
star », dit-elle, " mais je veux retourner à
l'école avec mes amis , mes professeurs et mon
fiancé " .
Son père, Resat Dibrani reçoit l'envoyé de EL PAIS
avec sa femme , Djemilah , à huit heures moins le
quart du matin, quand les Français et les vampires
dorment encore.C'est un homme grassouillet avec un
large visage, au regard direct, les yeux gris
directement. Elle est mate de peau et les cheveux
noirs, s'habille en noir,les sourcils très épilés
et semble sicilienne ou andalouse.
La première surprise est de voir que les Dibrani se
parlent les uns aux autres dans un italien parfait
et sont bien entourés.La seconde est de savoir que
Mme Djemilah n'est pas née dans les Balkans, mais à
Caltanissetta (Sicile) , et la troisième, qu'ils ne
sont pas mariés - «nous cohabitons», disent-ils -
et qu'ils formèrent un couple (...) dans dans un
campement romaní de Secondigliano, le quartier dit
de la camorra, par antonomase, de Naples.
La grande ironie de cette histoire, symptomatique
de l'absurdité qui depuis des décennies ou des
siècles perdure en Europe avec la communauté Rom
c'est que la plupart des membres de cette famille à
laquelle les médias portent leur attention ne sont
pas nés et n'ont jamais vécu au Kosovo.
.../...
L'exode de la famille a commencé en 1986, raconte
Resat . «Je suis né le 2 Septembre 1967 à
Mitrovica. Puis il ya eu des dizaines de milliers
de Roms à Mahala , une ville-campement qui était
tout près d'ici . Mais mon père était un ivrogne et
coureur de jupons, il est parti de chez lui et a eu
une enfance difficile . Je suis allée vivre avec ma
grand-mère...se souvient M. Dibrani , qui comme
adolescent était un marchand de chaussures et de
bijoux de fantaisie et avait le bagout d'un
marchand de tapis.
«Quand ma grand-mère est morte, j'avais neuf ans et
je suis allé avec ma tante. Làj'ai rencontré
Djemillah en 1989. Elle avait 13 ans et ne me
plaisait pas, elle était trop effrontée , elle
portait des décolletés plongeants ... Sa sœur était
plus jolie , mais elle était plus petite et timide
... Quand j'ai atteint l'âge de faire l'armée , je
fus un an chauffeur des officiers. A la fin , je
suis retourné à Mitrovica , mais comme mon frère
aîné était allé à Naples, et je l'avais pas vu
depuis 20 ans , j'ai décidé d'aller en Italie . "
"Je jure sur mon père mort », dit la mère, " nous
n'avons jamais demandé l'aumône, ni (...) rien
d'horrible. Nous sommes des gens normaux "
Les parents de Djemilah étaient des Roms d'origine
croate , et aussi allèrent en Italie pour
travailler en tant que commerçants de fer en 1969.
« Ils ont travaillé à Palerme , Messine, dans de
nombreux endroits . Je suis née en Sicile parce
qu'ils vivaient là depuis longtemps . Mais ensuite,
nous sommes partis pour Naples, nous sommes
retournés à la Croatie , nous sommes allés en
Espagne " , dit-elle.
" Nous étions jeunes et avons vécu de nombreuses
années comme nomades sans frontières ", poursuit le
mari, « où nous avions entendu que nous pouvions
vivre en paix , nous allions là-bas . J'ai vendu
des roses à Séville, des mouchoirs en Belgique, du
tabac à priser en Allemagne, jusqu'à ce que nous
nous installions à Fano , le conseil municipal nous
a beaucoup aidé et j'ai pu démarrer une entreprise
de collecte de vieux meubles et de nettoyage de
jardins " .
"Je jure sur mon père mort », dit Djemilah , «nous
n'avons jamais faitl'aumône, ni n'avons vendu une
fille, ou quoi que ce soit d'horrible. Nous sommes
des gens normaux, croyants, familiers. Resat lui
fut mis en prison une fois par erreur à Naples, et
quand il est sorti, il a reçu un chèque et c'est
tout. "
UNE SAGA EXEMPLAIRE
La saga de ces apatrides est exemplaire, en plus de
leur optimisme vital et de leur allergie aux
patries et aux documents - vestige peut-être d'un
ADN soupçonneux avec les recensements, qui étaient
le prélude des pogroms...
Leur histoire, faite de voyages, liberté, aventures
et fuites , produit à la fois l'envie et le vertige
, et est à la fois l'incarnation et le revers du
rêve européen : des gens qui parlent trois ou
quatre langues , et qui sautent de pays à pays
comme on change d'air .
Mais en même temps, c'est le signe de l'incapacité
de l'UE à assumer la libre circulation des pauvres,
et son mépris pour l'octroi de droits fondamentaux
et le respect de leur seule minorité ethnique, qui
a été d'ailleurs en partie exterminée pendant la
Shoah : 800.000 Roms sont morts dans les
Porraijmos ( la dévoration, en rom ) .
Peut-être l'histoire de Leonarda servira pour que
les politiciens et les citoyens qui considèrent les
roms coupables en temps de crise qui n'ont rien à
voir avec celà, comprennent que ces gens sont
devenus nomades par nécessité, et sont allés dans
des lieux où la haine se change en coup de main ,
où leurs enfants se sont scolarisés et ont compris
que seule une bonne éducation peut préserver leur
sens radical de la liberté légué par leurs
ancêtres.
INTEGRATION A LONG TERME EN ESPAGNE
Si les dix millions de Roms européens sont le
produit d'une diaspora très ancienne et de
l'histoire que les dictateurs leur ont écrit à coup
d' expulsions, des Rois Catholiques à Hitler et
Franco, au cours des 40 dernières années, leur
survie a dépendu des décisions des dirigeants
démocrates européens. Et leur niveau de vie s'est
nettement amélioré dans les endroits où les
politiques sont devenus intégration à long terme ,
comme l'Espagne . «Nous avons de la famille
partout. Mais nous voulions rester en Italie ,
presque tous y sont nés et nous avions une belle
maison avec jardin près de la mer », dit la mère.
«Tout allait bien jusqu'à ce que Silvio Berlusconi
a dit qu'il devait reconduire tous les Tsiganes du
pays », dit le père . C'était avant et après les
élections de 2008. Le gouvernement italien n'a pas
hésité à faire un recensement, les empreintes
digitales, a toléré les ratonnades motorisées et
des attaques incendiaires dans les camps, a déporté
massivement les Roms. La fuite des Dibrani d'Italie
en France a coïncidé , en Janvier 2009, avec le
point culminant de cette offensive. «Nous sommes
partis deux jours avant d'expulsés . L'avocat m'a
dit qu'ils allaient nous envoyer en Croatie , alors
nous avons pris le van et nous sommes partis par
San Remo jusqu'à Orléans " .
Philippe Ginet (Traduction et illustration) 22 octobre 2013
Les terminologies désignant Roms, Tziganes, gypsy étant variées d'un pays à un autre, par commodité j'ai choisi la désignation Rom
(WIKIPEDIA, extrait)
Rom (ou Rrom2) est un terme qui a été adopté par l'Union romani internationale (IRU) pour désigner un ensemble de populations, ayant en commun une origine indienne3, dont les langues initiales sont originaires du nord-ouest du sous-continent indien4 et constituant des minorités connues sous de nombreux exonymesvivant entre l'Inde et l'Atlantique ainsi que sur le continentaméricain. Rom est un endonyme signifiant « homme accompli et marié au sein de la communauté5 ».
Présentes en Europe dès le xie siècle6, ces populations y forment au xxie siècle la minorité « la plus importante en termes numériques »7.
HEBDOMADAIRE sur l'EUROPE, LE PARLEMENT EUROPEEN, VIA L'ECOLOGIE ET LA PRESSE INTERNATIONALE
Mise à jour d'aujourd'hui 17 oct 2013
En Une
...Ecoutons aussi les euro-sceptiques...
...Les désaccords entre la Commission européenne et le FMI sur la manière d’en finir avec la crise de la dette en Europe ne cessent de s’amplifier...
...En partenariat avec EuropaNova, Paris Match propose le premier épisode de «Tous Européens?»...
Lecturiens, lecturiennes...
En Une
...Ecoutons aussi les euro-sceptiques...
...Les désaccords entre la Commission européenne et le FMI sur la manière d’en finir avec la crise de la dette en Europe ne cessent de s’amplifier...
...En partenariat avec EuropaNova, Paris Match propose le premier épisode de «Tous Européens?»...
Lecturiens, lecturiennes...
UNE BATAILLE entre 3 FEMMES
Près de 90 militant-e-s sont passés lors de cette importante AG, samedi dernier
Le temps du matin, temps de bilan et de perspectives a permis d'échanger sur les moyens mis à disposition par la coordination et le bureau, ceux qu'il fallait améliorer ou créer.
Une feuille de route pour l'année 2013-2014 a été élaborée.
Reportage photos ici de la matinée consacrée aux municipales.
D'intensifs ateliers se sont déroulés durant le restant de la journée.
PG
Une feuille de route pour l'année 2013-2014 a été élaborée.
Reportage photos ici de la matinée consacrée aux municipales.
D'intensifs ateliers se sont déroulés durant le restant de la journée.
PG
La Fête de la biodiversité à Saint Père en Retz ,le samedi 5 Octobre ,
organisée par les trois groupes locaux EELV Pays de Loire : Saint Jean -le Pellerin ,
Côte de Jade et Sud Estuaire ...
L'Europe était au coeur du sujet, avec l'expertise éclairée de Karima Delli et Sandrine Bélier, François de Rugy...
Ce fut durant cette journée autour de trois ateliers co-animée par Pierre Gressant et Mahel Coppey : des sourires, des échanges de qualités, des invités...
Atelier 1: Mahel Coppey (EELV Le Pellerin ) Sandrine Bélier euro-députée EELV
Guy Bourles (Ligue pour: la Protection des Oiseaux ),
Atelier 2: Karima Delli ( euro-députée EELV) , Stéphane Bertrand (EELV St Brévin) Michel Gadreau (Cimade)
Atelier 3: François de Rugy (Député de Loire Atlantique) Jean-Christophe Barbato (Université de Nantes) Jacques Cochy (Conseil régional EELV)
La conclusion fut menée par Jean-Philippe Magnen, porte parole national.
Enthousiastes, à l'écoute, des livres, du vin (un peu) contre Nddl, de la bière pour soutenir les faucheurs volontaires et surtout, beaucoup d'Europe, fonctionnement, sujets d'actualité et position de EELV.
Près d'une centaine de personnes heureuses de partager ces débats citoyens.
Ce fut durant cette journée autour de trois ateliers co-animée par Pierre Gressant et Mahel Coppey : des sourires, des échanges de qualités, des invités...
Atelier 1: Mahel Coppey (EELV Le Pellerin ) Sandrine Bélier euro-députée EELV
Guy Bourles (Ligue pour: la Protection des Oiseaux ),
Atelier 2: Karima Delli ( euro-députée EELV) , Stéphane Bertrand (EELV St Brévin) Michel Gadreau (Cimade)
Atelier 3: François de Rugy (Député de Loire Atlantique) Jean-Christophe Barbato (Université de Nantes) Jacques Cochy (Conseil régional EELV)
La conclusion fut menée par Jean-Philippe Magnen, porte parole national.
Enthousiastes, à l'écoute, des livres, du vin (un peu) contre Nddl, de la bière pour soutenir les faucheurs volontaires et surtout, beaucoup d'Europe, fonctionnement, sujets d'actualité et position de EELV.
Près d'une centaine de personnes heureuses de partager ces débats citoyens.
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