NANTES INFOCULT

Dans le cadre de leur campagne sur l'Obsolescence Programmée Les AMIS DE LA TERRE 44 ont organisé une belle journée à Nantes, face à la Fnac, Place du Commerce. Une belle action d'écologie citoyenne.

Plusieurs associations étaient là.

Les Amis de la Terre et leurs partenaires ont invité le public, samedi dernier, place du commerce à Nantes, pour découvrir une autre façon de consommer et soutenir une économie utile socialement, qui préserve les emplois et l’environnement.
Dans le cadre de leur campagne nationale contre l'obsolescence programmée, les Amis de la Terre ont proposé, avec leurs partenaires, des stands pour s’informer sur d’autres modes de consommation, moins producteurs de déchets et plus solidaires.
Ont participé à cette journée, Alis 44 (informatique), Ecophone 44 (smartphone, tablette tactile), Place au vélo (vélo), Snalis (informatique), Vélocampus (vélo).

Un public attentif s'est égréné tout au long de la journée et selon Patricia Thibout présente sur le stand des Amis de la Terre et également membre du Collectif d'Appui Opérationnel et de Réflexion au Rassemblement d'Ecologistes (Nantes) "Les consommateurs et le soleil étaient là, belle journée de mobilisation..."
http://caoree.wordpress.com

NOUS ALLONS BIENTOT SORTIR DE PAPER-LI QUI NE NOUS PERMET PAS D'ETRE REFERENCE PAR GOOGLE, MALGRE SES PROMESSES. CETTE PAUSE TECHNIQUE NOUS EMBARQUE JUSQU'A JANVIER 2014. LE TEMPS DE CREER UN NOUVEAU SITE WORPRESS .
L'INTERACTION TWITTER, FACEBOOK ... PERDURE BIEN SUR

EN ATTENDANT ECOLIGHTnews RESTE HEBDOMADAIRE, sans édito.

1er Mai 2013
Bonne Fête du travail à toutes et à tous

L'idée de faire un bilan comme ça m'est venue en parcourant le blog d' Éric ROCHEBLAVE sur l’Actualité du Droit du Travail
– Avocat Spécialiste en Droit du Travail et Droit de la Sécurité Sociale au Barreau de Montpellier et
qui décrit sa présence (agrémentée d'un brin de muguet)
sur les réseaux sociaux
et donc sa capacité à communiquer
ses idées et savoirs.

en chiffres au 1er mai 2013 :


Oui mais moi qui suis travailleur indépendant, bien qu'officiellement inscrit au chomage depuis mai 2012,
qu'ai-je foutu de cette année extrêmement agitée et qui à l'orée des municipales et des européennes en 2014,
et à l'aune des bourdes de plus en plus insensées va me faire travailler peut être 2 fois plus :)

Mon blog TVREZE/INFOCULT,
Le site d'info ECOLIGHTnews,
Et La page officielle
en chiffres au 1er mai 2013 :

TVREZE/INFOCULT :
222 articles publiés.
12 reportages photos (manifs syndicales et ant NDDL)

MEDIAPART :
21 articles,
revues de presse et traductions
(Washington Post, New York Times, El PAIS,
The Independent,
El Pais, Tokyo Times,
Tokyo Shimbun, DieWelt, China Daily et
Die Spiegel.
6 illustrations pierre noire et pastels gras, 3 montages Photoshop (plusieurs centaines de photos traitées)
Pas de stats visibles sur les pages Mediapart mais par expérience des 200 articles publiés
de 2009 à 2011 où
le compteur était visible en temps réel, je peux évaluer à 800-900 lecteurs en moyenne par articles qui
s'ajoutent au long des semaines, contrairement à Facebook où
le flux est plus concentré dans le temps

ECOLIGHTnews.eu
21 éditoriaux
42 éditions hebdo et 27 quotidiennes
9 dossiers thématiques

PAGE OFFICIELLE ECOLIGHTnews
Plus de 2000 likes en huit mois
41 amis fan
1 administratrice (Sarah, Washington)

Stats Facebook :
moyenne de 500 à 1000 lectures/semaine
selon activité.
Sans publication durant quasi 3 semaines
N'est jamais descendu en dessous de 300

Twitter (2comptes)
Depuis décembre dernier
940 followers
750 abonnements
plus de 3500 tweets et retweets ciblés sur la même période

Twitter relayé sur Facebook
ceux qui commentent en direct les débats sur mass media
environ 100 lecteurs par tweet
Soit 1 débat de 40mn = environ 800 lectures en 1 h

Compte perso Facebook
Plus de 3000 followers depuis 2010,
un peu autour de 200 de plus en 2012-2013,
la plupart militants écolos, universitaires, élus ou responsables EELV, PS et
quelques autres ni de gauche,
ni militants mais ouverts à l'info écolo

LinKedIn
Plus de 180 nouveaux contacts
depuis courant 2013
que j'informe des publications ECOLIGHTnews.eu et à qui je diffuse
sélections de tweets et liens Scoop-it

L'ensemble de tout ça forme peu à peu une communauté;
Un début pour moi de toucher de plus près la notion de community management.

Ma prochaine tâche pour 2013-2014, développer plus particulièrement cette amorce de communauté,
en plus d'un nouveau site wordpress prévu pour le milieu de l'été,
et intensifier les publications sur Mediapart.
si la crise française nous prêtent vie

Tout ça pour, si on veut, préciser que le chômage n'empêche pas le travail et l'enthousiasme
et que les usages de Twitter, Facebook, loin d'être des gadgets narcissiques, sont de formidables
outils communautaires, donc très précisément de partage, de présence au monde,
voire d'actions citoyenne et militante.

Je donne aussi ce bilan car il peut être utile pour d'autres utilisateurs bien entendu,
pour leurs propres stratégies de com.

Alors donc merci à vous tou(te)s.
Je crois que plus personne ne s'étonnera (ce qui arrive souvent)
d'horaires parfois très nocturnes, ni de quelques "photes"
scandaleuses d'orthographe
tant parfois le temps est "con_pressé"
si on rajoute les quelques temps de formation
qui ont émaillé l'année.

Bon 1er Mai qui risque cette année de nous surprendre et dans ts les cas,
radicalement différent de celui de l'année dernière qui était celui de ts les espoirs quand
je revois le reportage de l'année dernière à Nantes.
(En plus il faisait beau)

Philippe Ginet.
(illustration : Sion Sono en vue de l'article sur sa fimographie et son récent Land Of Hope (Fukushima)


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REVUE DE PRESSE ET ILLUSTRATIONS CONCUES PAR PHILIPPE GINET.


L’APRES TSUNAMI : RECONSTRUCTION EN STAND-BY
Le coût des matériaux de construction a grimpé en flèche dans la région de Tohoku, ce qui entrave l'après-tsunami. Plus de 250.000 résidents à Tohoku ont perdu leurs maisons et les entreprises le 11/3/2011 lorsque l’ énorme tsunami a tout balayé sur son passage. Les routes et autres infrastructures côtières ont également été englouties.
Principalement en raison de l'augmentation du coût du béton et d’autres matériaux du bâtiment d'autre part, de nombreux entrepreneurs font de la surenchère sur les contrats de reconstruction. Beaucoup de ceux qui soumettent des offres sont souvent au-dessus de ce que les collectivités locales peuvent payer.
Au cours du dernier semestre 2012, 32% des projets publics dans la préfecture de Miyagi n'ont pas réussi à trouver des entrepreneurs accessibles financièrement. Miyagi a été la plus touchée par le tsunami sur la côte de la Préfecture de Tohoku. Une route gravement endommagée à Miyagi est restée en l’état, car aucun entrepreneur n’a été trouvé pour faire les réparations. La préfecture d'Iwate a eu un taux d'échec de 14%. A Kamaishi, dans la préfecture d’ Iwate, personne n’a été trouvé pour reconstruire une caserne de pompiers endommagée par le tsunami. Les réfugiés qui ont trouvé un logement temporaire ont le sentiment global que rien n'a changé au cours des deux dernières années, depuis qu’ils ont tout perdu. Les entrepreneurs se plaignent que les coûts des matériaux de construction ont augmenté jusqu'à 43%, de sorte qu'ils ne peuvent pas se permettre de prendre des contrats disponibles tant que les limites de budget ne changent pas. Ils se plaignent également d'une pénurie de travailleurs qui sont prêts à s'impliquer dans l'après-tsunami. Les fournisseurs de matériaux sont réticents à investir dans le développement de leurs capacités de stocks, car une fois la récupération terminée, la demande va retomber à des niveaux d'avant la catastrophe. En outre, si les travailleurs de la construction doivent être missionnés dans d'autres régions du Japon, les coûts de main-d'œuvre augmentera aussi, défavorisant encore plus la reconstruction.

(Asahi Shimbun) . http://ajw.asahi.com/

[Précision - Il convient de noter que ceci est spécifique à la reconstruction après le tsunami, et non à l'accident de Fukushima. Aucune des maisons des évacués de Fukushima ou l'infrastructure locale ne sont physiquement endommagées. Seules les communautés et les infrastructures touchées par le séisme et le tsunami le 11.03.11 sont concernées.]

ECONOMIE
Le Japon a connu son déficit commercial le plus grave en Janvier, principalement en raison du moratoire nucléaire. Le manque à gagner en Janvier est d'environ $ 17,5 milliards, le plus important depuis que les données ont commencé à être enregistrées en 1979. Alors que les exportations du pays ont augmenté de 6,4% pour le mois, les importations ont augmenté elles de 7,3%. Le gouvernement affirme que la principale raison du déficit est le coût élevé du pétrole brut et du gaz naturel liquéfié et le besoin de faire fonctionner de vieilles et inefficaces centrales à combustible fossile pour remplacer une partie du parc nucléaire.
http://www3.nhk.or.jp/nhkworld/

JAPCO REVEND SON COMBUSTIBLE
La Japan Atomic Power Company (JAPCO)a vendu une partie de son combustible nucléaire inutilisé pour rembourser la dette et de réduire les coûts de la consommation aussi bas que possible. Les acheteurs n'ont pas été publiquement identifiés. JAPCO a eu besoin de fonds pour rembourser les prêts qui viennent à échéance en Avril. Il ne semble pas qu’ une seule de ses trois centrales nucléaires mises hors service par décision politique redémarre avant l'été prochain, si ce n'est que beaucoup plus tard, donc JAPCO a été contraint de lever des fonds en vendant du combustible. Tokyo Electric Company envisage de prendre des mesures similaires afin d'alléger leurs charges financières actuelles.
http://english.kyodonews.jp/

LES ANTINUCLEAIRES JAPONAIS : HOKKAIDO
En raison de craintes d'un accident nucléaire, cinq municipalités de l'île de Hokkaido ont officiellement demandé à Tokyo d’arrêter la construction de la station Oma nucléaire dans la préfecture d'Aomori. La demande a été soumise au ministère de l'Industrie, mardi. La société J-Power construisait l'usine avant la décision du moratoire nucléaire national, mais il a été autorisé à reprendre l'an dernier.
http://www3.nhk.or.jp/nhkworld/

GREENPEACE ET FUKUSHIMA : INDEMNISATIONS
Greenpeace a lancé une campagne sur Internet exigeant que tous les constructeurs nucléaires au Japon soient tenus responsables de l'accident de Fukushima. L’organisation internationale anti-nucléaire veut que la loi japonaise relative à l'indemnisation des accidents du travail soit révisée de sorte que toutes les entreprises liées à la conception et à la construction d'armes nucléaires soient contraintes de payer les personnes évacuées… Greenpeace affirme que l'industrie nucléaire se soustrait à la responsabilité de l'accident nucléaire. Le militant antinucleaire Asilan Tumer : «La catastrophe de Fukushima dévoile des failles scandaleuses dans un système qui n’implique les exploitants nucléaires que pour ne payer qu’une partie des coûts d'une catastrophe et n’exige rien des fournisseurs de réacteurs pour payer quoi que ce soit."
Actuellement, seule la Tokyo Electric Company, propriétaire de Fukushima Daiichi, est obligée de payer d'énormes sommes d'argent pour les quelque 70.000 personnes que le gouvernement de Tokyo a évacuées et qui ne leur permettra pas de retourner dans leurs maisons encore intacts. Greenpeace veut que les choses continuent dans le bon sens, mais également que le reste de la communauté nucléaire paie des compensations supplémentaires.

http://english.kyodonews.jp/
http://www.japantimes.co.jp/

SUICIDES : LE COMBAT D’UNE VEUVE
L'épouse d'une victime « suicidée »de Fukushima va déposer une plainte pour 1,2 million de dollars contre TEPCO. Mme Shigekiyo Kanno a tenu une conférence de presse mercredi. Son mari, un agriculteur Soma, s'est suicidé en Juin 2011, lui et sa famille forcés d'évacuer leur ferme. Sa dernière lettre explicative dit, en partie: «... si seulement il n'y avait aucune centrale nucléaire. » Elle va déposer son dossier au tribunal de district de Tokyo le mois prochain. Une enquête du gouvernement a recensé 21 personnes qui se sont suicidés à partir de Juin 2011 à Décembre 2012, en raison du séisme, du tsunami et de l'accident de Fukushima. M. Kanno est le seul suicide relié à l'accident nucléaire .
http://www3.nhk.or.jp/nhkworld/

Drums muffle Marine Le Pen's far-right message on visit to Cambridge
Tom Peck. The Independent. Mardi 19 février 2013
(trad : Philippeginet/ecolightnews. eu)

Les banderoles sur lesquelles on lisait "Pas d’accueil pour les nazis" ont claqué sur le capot de la BMW qui conduisait Marine Le Pen à travers une foule de plusieurs centaines de manifestants devant l'Union de Cambridge. Entouré d’une importante escorte policière, elle est sortie et s’est engouffrée dans l’entrée.

Il y a dix ans, son père Jean-Marie, dont elle a hérité de la présidence du « Front National» le Parti d’extrême droite en France, s'était faufilé furtivement par une porte de derrière. La foule était plus importante à l’époque, et encore plus en colère, mais cette fois-ci elle n’a pas manqué d’agressivité non plus. Beaucoup d'entre eux étaient des Français, avec des banderoles françaises et des chants français.

« Êtes-vous un nazi? Ou tout simplement pensez-vous le devenir?» telle était la question posée par Tony Woodcock, un responsable de l'Union qui a aidé à organiser la manifestation, aux étudiants qui formaient la file d’attente pour entrer. Un peu provoquant, particulièrement quand il s’adressa à deux étudiants noirs qui accompagnaient Marine Le Pen.

"La liberté d'expression?", s’est expliqué M. Woodcock. "Ce qu'ils représentent est illégal dans de nombreux pays d'Europe, illégal en Autriche et en Allemagne. Cette protestation n’a pas pour but de les arrêter. Mais pourquoi les inviter? C'est juste stupide que l'Union ait décidé de se faire un peu de publicité. "

Que ce soit ou non à l'Union de Cambridge en effet de fournir une audience à Mme Le Pen a été quelque peu le sujet débattu, même après qu'elle eut fini de parler. Avec son discours en français traduit simultanément en anglais à l'autre bout de la salle ,l’ interprète et la conférencière parlant à voix haute simultanément, ni les anglophones, ni les francophones présents ont pu distingué clairement ce qui fut dit. La plupart des étudiants ont juste regardé, se sont ennuyés ou ont ri . Après tout rester assis de longues heures en cours, où vous ne comprenez pas un mot, fait partie intégrante de la vie étudiante. Mais quelques phrases ont émergé.

"La nation doit être souveraine ... Il s'agit d'un Etat fort, capable de contenir les gens ... L'Union européenne est l'une des causes de notre faiblesse..."

Pendant qu'elle parlait, le roulement des tambours, les sifflets, et le slogan en français psalmodié à l’extérieur "A bas le Front national" sont devenus de plus en plus assourdissants.

«Ma famille n'a rien à rougir de rien», a-t-elle insisté, en réponse à un étudiant. « Ce que nous avons fait pour notre pays? Mon grand-père est mort sur une mine allemande. Mon père était un membre du parlement. Il est parti faire la guerre en Algérie. Ceci est contrairement à tant de gens qui restent assis les mains croisées et ne se lancent pas dans le combat. Nous n'avons pas volé l'État que de nombreux politiciens l’ont fait. »

« Si nous n'avons pas une rupture radicale avec le système, la France en tant que telle pourrait disparaître… Les civilisations sont mortelles. Elle peut faire faillite... Si la France continue sur sa trajectoire économique... Dans sa chute... Si elle perd tout son savoir-faire... Tout son savoir… Son excellence… Si l'attrait de ses services attire tant de gens de l'extérieur, son identité disparaîtra… »

…"Aujourd'hui, la France compte 200.000 immigrés clandestins par an. Il y a 5 millions chômeurs déjà en France. 1,2 million sur les listes d'attente pour les logements sociaux. Nos services de santé croulent sous la demande. C’est stupide. Nous devons freiner des quatre fers. Les gens arrivent avec des espoirs et des aspirations. Ils seront déçus. Il n'y a rien pour eux… "
Un argument classique de l’extrême droite. Mme Le Pen pense que pour des immigrés, venir en France "entraîne un abandon d'une partie d'eux-mêmes. Il s'agit d'un sacrifice indispensable pour faire partie du pays. Vous devez être prêt à travailler ensemble dans un destin commun. "
… «Je ne l'aime pas, pas plus maintenant qu’avant, ce qui était déjà pas grand-chose » a été le verdict d’un responsable de l'Union. Si les électeurs français avaient été dans la salle, ils auraient gardé le silence, et il semble très peu probable qu'elle aurait rallié de nouvelles personnes à sa cause.

http://www.independent.co.uk/news/uk/home-news/drums-muffle-marine-le-pens-farright-message-on-visit-to-cambridge-8501785.html?origin=internalSearch
.

LETTRE OUVERTE A JEAN MARC AYRAULT PUBLIEE PAR DE NOMBREUSES ONG, CONCERNANT LA TRANSITION ENERGETIQUE
Palabres depuis le 14 septembre dernier?
Christophe Aubel (Humanité et biodiversité)
Marie Atinault (Effet de Serre toi-même !)
Geneviève Azam (Attac)
Anne Barre (WECF)
Jacques Beall (Surfrider)
Madeleine Charru (CLER)
Hélène Connor (HELIO International)
Bruno Genty (France Nature Environnement)
Jean-François Julliard (Greenpeace)
Martine Laplante (Les Amis de la Terre)
Franck Laval (Ecologie sans frontière)
Stephen Kerckhove (Agir Pour l'environnement)
François Mativet (Réseau Sortir du Nucléaire)

EXCLU
ecolightnews/mediapart

USA : L'INEVITABLE MONTEE
DES EAUX A NEW YORK
Quelles décisions politiques?

Rappelons qu'il s'agissait du coup d'envoi officiel de "Nantes Capitale verte européenne 2013"

Extraordinaire prestation du spectacle « Tambours » réunissant la chorale géante Urban Voices et des batucadas brésiliennes.
D'un côté, plus de 600 chanteurs amateurs issus des quartiers nantais ; de l'autre, le son énergique de 150 tambours et caisses.
Un magnifique choeur qui symbolise les possibilités infinies de l'idée de solidarité et de rencontre des habitants d'une ville quand elle est menée de main de maître et avec générosité.
On en a saisi quelques instants...

article et photos. Philippe Ginet/ecolightnews. @Yokono7

La manifestation prévue suite à l'action de Serge Chernay est prévue mercredi, sur le parvis du Tribunal de Nantes.

photos prises cette nuit et à 7h45 ce matin : Philippe Ginet/ecolightnews.eu