LA SOLIDARITÉ, UN DÉFI POUR L’AVENIR DE NANTES ? HIER SOIR A L'ECOLE NATIONALE D'ARCHITECTURE
Salle comble hier la rencontre sur le thème LA SOLIDARITE UN DEFI POUR L'AVENIR
Patrick Rimbert, maire de Nantes, vice-président de Nantes métropole a ouvert le débat en précisant que l'action
de Nantes est basée sur le principe selon lequel "la réussite doit profiter à tout le monde" et
que la solidarité plus que jamais est une priorité en période de crise.
Dans le présent, l'urgence, pour toutes les générations comme dans le temps : l'école de la deuxième chance.
Une introduction on ne peut plus consensuelle.
De la même manière que le ministre Jean-Marc Ayrault il y a quelques mois à l'Assemblée nationale, il a pointé le fait
que de très nombreux ayant-droits à diverses formes de solidarité ne les sollicitaient pas.
La ville a estimé les contrats emplois-avenir comme une bouffée d'oxygène pour la cité et que solidarité ne pouvait être synonyme d'assistance.
La rencontre s'est faite aussi dans l'ombre du demandeur d'emploi s'étant immolé la veille devant les locaux du Pôle_emploi...
Ce qui posait la question clairement :
En tant que citoyen qu'est ce qu'on n'a pas vu, fait, répondu?
En tant qu'élu, quelles actions?
Prochaine rencontre :
QUELLES CLES POUR LA QUALITE DE VIE DURABLE DES NANTAIS?
Lundi 18 février
Un compte rendu du débat précédent sera mis en ligne aujourd'hui
Pour continuer débats
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LE SITE
[http://www.nantes-aujourdhui-demain.fr/#!/
Article et photo. Philippe Ginet. ecolightnews.eu
Patrick Rimbert, maire de Nantes, vice-président de Nantes métropole a ouvert le débat en précisant que l'action
de Nantes est basée sur le principe selon lequel "la réussite doit profiter à tout le monde" et
que la solidarité plus que jamais est une priorité en période de crise.
Dans le présent, l'urgence, pour toutes les générations comme dans le temps : l'école de la deuxième chance.
Une introduction on ne peut plus consensuelle.
De la même manière que le ministre Jean-Marc Ayrault il y a quelques mois à l'Assemblée nationale, il a pointé le fait
que de très nombreux ayant-droits à diverses formes de solidarité ne les sollicitaient pas.
La ville a estimé les contrats emplois-avenir comme une bouffée d'oxygène pour la cité et que solidarité ne pouvait être synonyme d'assistance.
La rencontre s'est faite aussi dans l'ombre du demandeur d'emploi s'étant immolé la veille devant les locaux du Pôle_emploi...
Ce qui posait la question clairement :
En tant que citoyen qu'est ce qu'on n'a pas vu, fait, répondu?
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