Les faits : c'est en famille, avec des enfants, certains en bas âges, que mains et poings levés, près de 200 personnes environ sont venues traquer la journaliste Caroline Fourest, empéchant son train de partir.
A l'annonce du départ du train, la tension est vive. Les CRS alors interviennent avec quelques lachers de gaz lacrymos. Des manifestants descendus sur la voie sont rapidements rappelés à l'ordre, sans violence. C'est avec 45 minutes de retard, que le TGV finalement démarrera, sous les huées des plus remontés qui repartent en chantant dans les beaux quartiers de Nantes : "on veut du boulot, pas du mariage homo"
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