Chaque année au mois de juillet, le Festival de poésie VOIX VIVES, de Méditerranée en Méditerranée accueille à Sète plus de cent poètes venus de toutes les Méditerranée. Ils sont entourés d’artistes, conteurs, musiciens, chanteurs, comédiens qui offrent avec eux une approche plurielle de la parole poétique.
De nombreuses rencontres sont proposées chaque jour dans des lieux accessibles à tous : places, jardins publics ou privés, rues, lieux du Patrimoine situés dans une partie historique de la ville retenue pour être Le Village du Festival.
De la voix des poètes issus d’une Méditerranée à la fois une et multiple, retentit une parole de paix, de regards sur le monde, de questionnements, de rencontres entre les cultures, de bonheur du partage.
Directe, synthétique, ronde ou crue, murmurante ou hurlante, la parole des poètes révèle d’emblée les évidences que parfois on ne sait ou n’ose formuler. Evidences enfouies dans le quotidien qui aveugle, sous la crainte qui jugule le dire.
Parce que la parole des poètes crie toutes les vérités, tous les drames, tous les bonheurs, les nôtres, ceux des autres, ceux de l’autre, elle est nécessaire. Comme peut l’être l’eau à une terre desséchée, à un corps meurtri, à une bouche assoiffée.
Les éditions lepetitvehicule.com
De nombreuses rencontres sont proposées chaque jour dans des lieux accessibles à tous : places, jardins publics ou privés, rues, lieux du Patrimoine situés dans une partie historique de la ville retenue pour être Le Village du Festival.
De la voix des poètes issus d’une Méditerranée à la fois une et multiple, retentit une parole de paix, de regards sur le monde, de questionnements, de rencontres entre les cultures, de bonheur du partage.
Directe, synthétique, ronde ou crue, murmurante ou hurlante, la parole des poètes révèle d’emblée les évidences que parfois on ne sait ou n’ose formuler. Evidences enfouies dans le quotidien qui aveugle, sous la crainte qui jugule le dire.
Parce que la parole des poètes crie toutes les vérités, tous les drames, tous les bonheurs, les nôtres, ceux des autres, ceux de l’autre, elle est nécessaire. Comme peut l’être l’eau à une terre desséchée, à un corps meurtri, à une bouche assoiffée.
Les éditions lepetitvehicule.com