Une lutte menée par les salariés de la centrale
Ce sont les salariés qui sont à l'origine de ce projet de reconversion, dénommé Écocombust.
Depuis la COP 21 de Paris, la nécessité de corriger le bilan carbone des industries avait scellé le sort de cette centrale thermique, premier pollueur de la Région Pays de la Loire. Pour ne pas fermer le Centrale et perdre au passage leurs emplois, les salariés de la centrale ont imaginé la possibilité de transformer les déchets de bois (industriels et ménagers comme des meubles) en granulés (ou "pellets"). Ces pellets seraient ensuite brûlés pour produire de la chaleur, et de l'électricité.
Cette centrale biomasse permettra à la centrale d'atteindre la neutralité carbone. Et de sauvegarder ses 650 emplois directs.
Un reportage réalisé en coopération avec les étudiants du Centre Nantais de Journalisme, dans un cadre pédagogique.
Depuis la COP 21 de Paris, la nécessité de corriger le bilan carbone des industries avait scellé le sort de cette centrale thermique, premier pollueur de la Région Pays de la Loire. Pour ne pas fermer le Centrale et perdre au passage leurs emplois, les salariés de la centrale ont imaginé la possibilité de transformer les déchets de bois (industriels et ménagers comme des meubles) en granulés (ou "pellets"). Ces pellets seraient ensuite brûlés pour produire de la chaleur, et de l'électricité.
Cette centrale biomasse permettra à la centrale d'atteindre la neutralité carbone. Et de sauvegarder ses 650 emplois directs.
Un reportage réalisé en coopération avec les étudiants du Centre Nantais de Journalisme, dans un cadre pédagogique.