Premier reportage avec Jocelyn Quesne, co-organisateur du salon, très en colère contre la décision des responsables de parc des expositions de la Beaujoire, qui refuse de façon systématique d'accueillir Eropolis et ses 15 000 visiteurs attendus. Une position, si l'on peut dire, que ne partage pas la direction de la Trocardière, qui accueille pour la cinquième fois ce salon.
Parallèlement, la venue du salon à Rezé ne fait pas que des heureux. Selon Presse Océan du samedi 22 janvier 2010, un collectif dénommé "Femmes-Dignité-Liberté" proteste de façon anonyme. Dans la nuit de jeudi à vendredi, des bâtiments publics, Mairie, gymnase et piscine ont été tagués.
Que l'on soit pour ou contre la tenue de ce salon, Eropolis ne laisse pas insensible.
N'hésitez pas à nous faire parvenir vos commentaires sur la venue de ce salon dans l'agglomération nantaise.
Parallèlement, la venue du salon à Rezé ne fait pas que des heureux. Selon Presse Océan du samedi 22 janvier 2010, un collectif dénommé "Femmes-Dignité-Liberté" proteste de façon anonyme. Dans la nuit de jeudi à vendredi, des bâtiments publics, Mairie, gymnase et piscine ont été tagués.
Que l'on soit pour ou contre la tenue de ce salon, Eropolis ne laisse pas insensible.
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