...Les acteurs économiques, associatifs et culturels rencontrés ont fait part de leurs difficultés mais aussi du dynamisme culturel nantais.

Un même objectif partagé par la candidate : celui de proposer une projet culturel fort et identifié pour le prochain mandat afin de revivifier les initiatives et la créativité culturelle.

Cet objectif a trouvé un écho auprès des acteurs de l’économie numérique rencontrés en fin de matinée avec des échanges sur les nouvelles façons de concevoir et de travailler...

Ce fut un parcours marathon!

Tout d'abord la rencontre avec le directeur de la revue bien connue Wik, qui semblait assez inquiet quand à la mutation des milieux culturels à Nantes et les prévisions des politiques proposées à ce propos.

Vint ensuite La Cantine, Celle de Nantes est portée par l’association Atlantic 2.0, le réseau des professionnels du web et de l’innovation numérique des Pays de la Loire.

Elle accueille un public d’entrepreneurs, d’investisseurs, d’experts métier, de salariés, d’indépendants, de chercheurs, d’étudiants… Toute personne travaillant dans le web et dans l’innovation numérique y est la bienvenue. En plein développement et faisant figure d'exemple en France, penser l'entreprise, le co-working se fera avec ces indispensables partenaires.

Plus arty, la rencontre à 2 pas, à Pol'n. rencontre avec le président. Pol'n à l'image de Nantes évolue et le secteur culturel a besoin de nouveaux paramètres avec institutions et politiques. Les échanges furent riches sur le sujet.

Plus tard en début d'après midi, la rencontre avec les salariés de Chapitre. Pascale Chiron était l'une des premières à leur rendre visite. Elle suit le dossier, sur le plan local mais aussi national.

Puis ce fut rue de la Paix, les librairies. Indépendantes, de proximité. L'une très connue la librairie de l'autre-rive visiblement sensible aux questions écologistes et citoyennes. L'autre, la librairie-café Les Biens-aimés ( Les livres... et les lecteurs bien sûr) où le dialogue avec Pascale Chiron et ses deux co-listiers présents, Benoit Blineau, Pierre-Yves Lebrun fut chaleureux.

Enfin le parcours se prolongea jusqu'au 50 Rue Fouré, à la rencontre du Sept Cent Quatre Vingt Trois : lieu d'accueil de résidences d'artistes sous formes de 2 studios de 150 et 80 m2.
La encore les questions sur la culture furent posées et tout pariculièrement sur la question des chorégraphes et des danseurs Nantes, dans l'avenir.

PG.