Depuis une dizaine d’années, un peu plus d’un millier de personnes (hommes, femmes et enfants) roumaines migrantes, d’origine Rrom, vivent dans la région nantaise, parfois dans un logement « ordinaire », ou en mobil-home sur des terrains « autorisés », mais le plus souvent dans des bidonvilles. 1ère partie : De la place du Bouffay au débat à la Manu.
Samedi dernier RomEurope et les familles Rroms conviaient à une grande fête à la Manu à Nantes.
Un orchestre de musique manouche, talentueux et très chorégraphié a amorcé la journée Place du Bouffay, attiré les chalands à l'entrée du Chateau D'Anne de Bretagne.
La suite s'est déroulée à la Manu.
L'après midi amplement ponctué de musique a été très animée, la grande salle étant comble. 2 associations ont organisé des animations chaleureuses et très prisées par les enfants.
Un temps fort très attendu aussi "paroles d'habitants" s'est également déroulé en milieu d'après midi. L'ambiance étant si "hot", le débat "bilingue" a eu quelque peu des difficultés à s'organiser. Il leur a fallu migrer vers des salles plus calmes.
Néanmoins , la question des politiques actuelles à Rezé, Nantes (réalités pas si pas si roses!) ont été abordées. Politique générale à l'égard des Rroms et aussi politique sécuritaire.
Les familles Rroms ont amplement participé, évoquant des problèmes très concrets, des solutions, des suggestions aussi.
La question du travail a aussi été abordée, sachant que depuis peu, il est "plus facile" pour les Rroms de prétendre à un emploi.
"Depuis une dizaine d’années, dans la région nantaise, un peu plus d’un millier de personnes, hommes, femmes et enfants Roumains habitent des appartements, vivent dans des mobil-homes sur des terrains autorisés, ou plus souvent dans des bidonvilles d’où ils sont régulièrement expulsés.
Ils travaillent ou cherchent du travail, font la manche, suivent moins souvent des études supérieures ou sont même footballeur professionnel au FC Nantes.
Les enfants vont à l’école et sont devenus des écoliers parlant le français.
Au cours des années, une partie de la population de la métropole nantaise les a côtoyés, certains leur ont rendu visite dans leur maison ou leur appartement, ou dans la caravane installée sur un terrain squatté..." RomEurope.
A noter, puisque nous étions à la veille du premier tour des municipales, qu'étaient présents tout au long de la journée, deux colistières de la Liste Ecologiste et citoyenne de Pascale Chiron, Danielle Mélon et Milène Bourcier et des militants d'EELV.
Philippe Ginet (philgi7@gmail.com) Article et photos
Danielle Mélon photos
Un orchestre de musique manouche, talentueux et très chorégraphié a amorcé la journée Place du Bouffay, attiré les chalands à l'entrée du Chateau D'Anne de Bretagne.
La suite s'est déroulée à la Manu.
L'après midi amplement ponctué de musique a été très animée, la grande salle étant comble. 2 associations ont organisé des animations chaleureuses et très prisées par les enfants.
Un temps fort très attendu aussi "paroles d'habitants" s'est également déroulé en milieu d'après midi. L'ambiance étant si "hot", le débat "bilingue" a eu quelque peu des difficultés à s'organiser. Il leur a fallu migrer vers des salles plus calmes.
Néanmoins , la question des politiques actuelles à Rezé, Nantes (réalités pas si pas si roses!) ont été abordées. Politique générale à l'égard des Rroms et aussi politique sécuritaire.
Les familles Rroms ont amplement participé, évoquant des problèmes très concrets, des solutions, des suggestions aussi.
La question du travail a aussi été abordée, sachant que depuis peu, il est "plus facile" pour les Rroms de prétendre à un emploi.
"Depuis une dizaine d’années, dans la région nantaise, un peu plus d’un millier de personnes, hommes, femmes et enfants Roumains habitent des appartements, vivent dans des mobil-homes sur des terrains autorisés, ou plus souvent dans des bidonvilles d’où ils sont régulièrement expulsés.
Ils travaillent ou cherchent du travail, font la manche, suivent moins souvent des études supérieures ou sont même footballeur professionnel au FC Nantes.
Les enfants vont à l’école et sont devenus des écoliers parlant le français.
Au cours des années, une partie de la population de la métropole nantaise les a côtoyés, certains leur ont rendu visite dans leur maison ou leur appartement, ou dans la caravane installée sur un terrain squatté..." RomEurope.
A noter, puisque nous étions à la veille du premier tour des municipales, qu'étaient présents tout au long de la journée, deux colistières de la Liste Ecologiste et citoyenne de Pascale Chiron, Danielle Mélon et Milène Bourcier et des militants d'EELV.
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