Thème de la conférence : chaque société définit sa marge de tolérance et d’exclusion des comportements sexuels considérés comme déviants. Dans ce cadre, malgré les avancées du droit en terme de respect des libertés, l’homosexualité - masculine et féminine - continue a être perçue comme le signe d’un style de vie pouvant justifier les attitudes de rejet, parfois extrêmes. Partant du principe que toutes les sociétés, dans leur histoire, sont concernées par cette question, le CID propose de poser une réflexion sur le regard des cultures sur l’homosexualité.
Louis Georges TIN, est un ancien élève de l'Ecole normale supérieure, agrégé de lettres et maître deconférences à l'Université d'Orléans. Il a publié plusieurs ouvrages sur la littérature française, et sur l'histoire de la sexualité.
Par ailleurs, Louis-Georges Tin est également très engagé dans plusieurs autres domaines, au niveau national et international. En 2005, il devient l'un des fondateurs du CRAN, le Conseil Représentatif des Associations Noires, dont il est le porte-parole et le vice-président.
La même année, il crée la Journée mondiale de lutte contre l'homophobie, célébrée dans plus de 50 pays aujourd'hui. En 2006, il lance un appel "pour une dépénalisation universelle de l'homosexualité", qui aboutit en décembre 2008 à une déclaration à l'Assemblée générale des Nations Unies, soutenue par 67 pays.
Louis Georges TIN, est un ancien élève de l'Ecole normale supérieure, agrégé de lettres et maître deconférences à l'Université d'Orléans. Il a publié plusieurs ouvrages sur la littérature française, et sur l'histoire de la sexualité.
Par ailleurs, Louis-Georges Tin est également très engagé dans plusieurs autres domaines, au niveau national et international. En 2005, il devient l'un des fondateurs du CRAN, le Conseil Représentatif des Associations Noires, dont il est le porte-parole et le vice-président.
La même année, il crée la Journée mondiale de lutte contre l'homophobie, célébrée dans plus de 50 pays aujourd'hui. En 2006, il lance un appel "pour une dépénalisation universelle de l'homosexualité", qui aboutit en décembre 2008 à une déclaration à l'Assemblée générale des Nations Unies, soutenue par 67 pays.