M. de Tarlé a précisé que "la situation financière de la société ne lui permettait pas de poursuivre son activité et qu'aucun des actionnaires ne désirait prolonger une exploitation qui s'est soldée en trois ans par une perte totale de plus de deux millions d'euros".
La ville d'Angers, qui détient une minorité de blocage (34%) dans Angers 7, avait demandé en début d'année au groupe Sipa-Ouest France (34% du capital également) de continuer à soutenir la chaîne "tant qu'un repreneur garantissant son fonctionnement n'(avait) pas été trouvé".
"En dépit de l'excellente audience de la chaîne, les recettes publicitaires ont été en effet très inférieures aux prévisions", a-t-il ajouté dans son communiqué.
Le dépôt de bilan auprès du tribunal de commerce d'Angers sera effectif le 21 avril, a précisé à l'AFP M. de Tarlé. "On a une ou deux pistes de reprise qui se dessinent. Pour les employés, on va voir ce que dit le tribunal", a-t-il ajouté.
La chaîne, qui émettait depuis 2005, emploie 15 salariés, dont six journalistes.
"La balle est dorénavant dans le camp de la mairie, mais je ne suis pas sûre qu'elle ait envie d'y aller", a estimé Marion Marchand, représentante des salariés, interrogée par l'AFP après une rencontre entre direction et personnels.
Selon cette représentante, les sociétés Demain TV (chaîne de l'emploi) et TV Loco, dont un des représentants dirige la télévision locale TV Rennes, pourraient faire des propositions de reprise.
Outre la ville d'Angers et Sipa-Ouest France, le reste des parts du capital de la chaîne se divise entre la Caisse d'épargne et de prévoyance des Pays de la Loire (10,67%), la Caisse régionale de Crédit Agricole des Pays de la Loire (10,67%) et le Crédit mutuel d'Anjou (10,66%).
La ville d'Angers, qui détient une minorité de blocage (34%) dans Angers 7, avait demandé en début d'année au groupe Sipa-Ouest France (34% du capital également) de continuer à soutenir la chaîne "tant qu'un repreneur garantissant son fonctionnement n'(avait) pas été trouvé".
"En dépit de l'excellente audience de la chaîne, les recettes publicitaires ont été en effet très inférieures aux prévisions", a-t-il ajouté dans son communiqué.
Le dépôt de bilan auprès du tribunal de commerce d'Angers sera effectif le 21 avril, a précisé à l'AFP M. de Tarlé. "On a une ou deux pistes de reprise qui se dessinent. Pour les employés, on va voir ce que dit le tribunal", a-t-il ajouté.
La chaîne, qui émettait depuis 2005, emploie 15 salariés, dont six journalistes.
"La balle est dorénavant dans le camp de la mairie, mais je ne suis pas sûre qu'elle ait envie d'y aller", a estimé Marion Marchand, représentante des salariés, interrogée par l'AFP après une rencontre entre direction et personnels.
Selon cette représentante, les sociétés Demain TV (chaîne de l'emploi) et TV Loco, dont un des représentants dirige la télévision locale TV Rennes, pourraient faire des propositions de reprise.
Outre la ville d'Angers et Sipa-Ouest France, le reste des parts du capital de la chaîne se divise entre la Caisse d'épargne et de prévoyance des Pays de la Loire (10,67%), la Caisse régionale de Crédit Agricole des Pays de la Loire (10,67%) et le Crédit mutuel d'Anjou (10,66%).