Vendredi 16/03 à 19h30,
LENINE MC DONALD. Urban Blues.
Premier ovni de 2012, Lenine McDonald (Ndlr : quel pseudonyme, n’est-ce pas ?) présente un disque de blues. Pas celui d’un Johnny. Ni d’un Clapton. En fait, Lenine se rapproche des pionniers sans trop y ressembler. Sa voix monocorde slamme en français sur une série de titres souvent construits sur un accord.
Tout cela pourrait paraître diablement ennuyeux. Or, non ! Les arrangements de guitare d’El Tao et autres bidouillages electro se faufilent dans chaque espace. Et Mc-Donald de déclamer ses textes superbement écrits. Érotiques et troublants. Poétiques et brumeux.
O Noavio Negreiro renvoie aux racines africaines du blues. L’Origine du Monde traduit le «scandaleux » tableau de Courbet du même titre. Et l’unique reprise, Sorry Angel de Gainsbourg, se fond à merveille dans l’univers de Lenine McDonald.
On appelle ça la classe !
http://www.myspace.com/leninemcdonald
LENINE MC DONALD. Urban Blues.
Premier ovni de 2012, Lenine McDonald (Ndlr : quel pseudonyme, n’est-ce pas ?) présente un disque de blues. Pas celui d’un Johnny. Ni d’un Clapton. En fait, Lenine se rapproche des pionniers sans trop y ressembler. Sa voix monocorde slamme en français sur une série de titres souvent construits sur un accord.
Tout cela pourrait paraître diablement ennuyeux. Or, non ! Les arrangements de guitare d’El Tao et autres bidouillages electro se faufilent dans chaque espace. Et Mc-Donald de déclamer ses textes superbement écrits. Érotiques et troublants. Poétiques et brumeux.
O Noavio Negreiro renvoie aux racines africaines du blues. L’Origine du Monde traduit le «scandaleux » tableau de Courbet du même titre. Et l’unique reprise, Sorry Angel de Gainsbourg, se fond à merveille dans l’univers de Lenine McDonald.
On appelle ça la classe !
http://www.myspace.com/leninemcdonald
Samedi 17/03 à 19h30,
GROUND. Post Punk.
Nourri au «guitarorisme» de Sonic Youth, Glenn Branca, My bloody valentine et de Rhys Chattam, au Rock caverneux de Suicide, aux rythmes tribaux de Can, Ground se présente comme un groupe «noise», «post-punk».
Il faut bien se faire une raison : Ground n’a pas de futur.
http://www.myspace.com/groundproject
GROUND. Post Punk.
Nourri au «guitarorisme» de Sonic Youth, Glenn Branca, My bloody valentine et de Rhys Chattam, au Rock caverneux de Suicide, aux rythmes tribaux de Can, Ground se présente comme un groupe «noise», «post-punk».
Il faut bien se faire une raison : Ground n’a pas de futur.
http://www.myspace.com/groundproject