Le morne, c’est la colline ou la montagne en créole. Un aller-retour entre le morne et le monde.
D’un côté, l’intime, la Martinique, le créole, la négritude, la famille, les histoires du pays,... De l’autre, les voyages, la métropole, l’Afrique, les événements de 68, le théâtre des années 70, le retour au pays natal, et l’engagement artistique. Un cercle qui ramène toujours à l’essentiel, comme le manège du chouval bwa, symbole de la vie qui tourne en dépit des vents contraires.
Entre récit de vie, autobiographie fantasmée, poésie et musique, Le morne était le monde est le fruit de ces différentes rencontres.
Le morne était le monde est le fruit d’une co-écriture de Nicolas Bonneau et Joby Bernabé, incluant également des extraits poétiques de l’œuvre de ce dernier, toujours avec la complicité musicale et sonore de Sébastien Bertrand.
D’un côté, l’intime, la Martinique, le créole, la négritude, la famille, les histoires du pays,... De l’autre, les voyages, la métropole, l’Afrique, les événements de 68, le théâtre des années 70, le retour au pays natal, et l’engagement artistique. Un cercle qui ramène toujours à l’essentiel, comme le manège du chouval bwa, symbole de la vie qui tourne en dépit des vents contraires.
Entre récit de vie, autobiographie fantasmée, poésie et musique, Le morne était le monde est le fruit de ces différentes rencontres.
Le morne était le monde est le fruit d’une co-écriture de Nicolas Bonneau et Joby Bernabé, incluant également des extraits poétiques de l’œuvre de ce dernier, toujours avec la complicité musicale et sonore de Sébastien Bertrand.
Réalisation : Philippe DEVILLIERS